Le pont-canal d'Agen est un pont-canal français qui permet de faire passer la navigation au-dessus de la Garonne par le canal de Garonne (ou canal latéral à la Garonne).
C'est un pont en arc, entièrement maçonné en pierre de taille du Quercy. Ses dimensions n'autorisent qu'une navigation à sens unique. Une écluse et un plan d'eau sont situés en aval de l'ouvrage et un autre plan d'eau en amont. Mise en service : 1849
- longueur totale de 539 mètres, sur 22 piles ;
- largeur totale de 12,48 mètres ;
- largeur de la voie d'eau de 8,82 mètres ;
- profondeur de la voie d'eau de 2,70 mètres.
Source https://fr.wikipedia.org/wiki/Pont-canal_d%27Agen
Le viaduc du Viaur est un ouvrage d'art ferroviaire en acier de la ligne de Castelnaudary à Rodez dans le sud du Massif central, en France. Achevé en 1902, il franchit la profonde vallée du Viaur entre Rodez et Albi. Il est situé sur les territoires des communes de Tauriac-de-Naucelle (Aveyron) et Tanus (Tarn). Ce pont a été classé au titre des monuments historiques le 28 décembre 2021.
Ce viaduc à voie unique est situé entre les points kilométriques 450,909 et 451,369 de la ligne de Castelnaudary à Rodez.
À l’issue d’un concours ouvert en 1887 à des ingénieurs (parmi lesquels figurait Gustave Eiffel), il fut attribué à l’ingénieur Paul Bodin de la Société de construction des Batignolles (aujourd’hui Spie Batignolles), et construit par celui-ci entre 1895 et 1902, avec l'aide de l'ingénieur Rosario de Volontat.
Le viaduc à voie unique est situé sur la ligne de chemin de fer Carmaux - Rodez. Il était alors le plus long arc métallique jamais construit. Le viaduc contient selon les estimations 3 800 tonnes de métal, avec un coût total, y compris les culées en maçonnerie, de l'ordre de 2 700 000 francs français.
Le 4 juillet 1902 est effectuée la jonction entre les deux parties du viaduc. Le pont est inauguré le 5 octobre 1902. Au moment de son achèvement, il comprend l'arc métallique le plus long.
Ce pont en acier, assemblé par rivets, est composé de deux poutres en porte-à-faux équilibrées (cantilever) et articulées, chacune prolongée par une courte poutre à section constante et une culée en maçonnerie à deux arches. C’est le seul pont de ce type en France. À l'origine le point central du pont n'était pas soudé, l'arche principale est donc scindée en deux parties indépendantes capables de soutenir chacune un poids considérable. Les deux parties furent soudées pour des raisons de maintenance peu après la construction du viaduc.
Grâce à la technique cantilever, les viaducs ferroviaires ont pu atteindre des portées considérables, jusque-là réservées aux ponts suspendus, alors inadaptés à la voie ferrée.
Le viaduc du Viaur est reconnaissable entre tous par sa silhouette où la voie ferrée passe au sommet et non au milieu de la structure, comme c’est le cas pour les autres ponts à poutres en porte-à-faux.
Longueur totale de l'ouvrage : 460 m
Hauteur : 116 m au-dessus de la rivière, 54 m au-dessus des appuis.
Portée entre appuis : 220 m.
Masse métallique : 3 800 t.
L’assemblage du viaduc du Viaur a inspiré le peintre Henri-Marcel Magne, pour son tableau Construction d'un Viaduc, où l'on voit une équipe de riveurs au travail, perchés sur un échafaudage volant.
La création du viaduc, avec les conséquences positives qu'il eut sur l'économie agricole du Ségala, est le thème de la nouvelle de Joan Bodon, Lo Pan de Froment (« Le pain de froment »)
Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Viaduc_du_Viaur
Est-ce la gare d'Austerlitz ou la gare d'Orsay ? La compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans avait deux têtes de réseau à Paris dans la 1ère partie du XXe siècle. Voir Wikipédia.:
Le viaduc du Blanc est un ouvrage d'art ferroviaire de la ligne de Saint-Benoît au Blanc, situé sur le territoire de la commune du Blanc, dans le département de l'Indre. Le viaduc du Blanc, enjambant la Creuse, était situé à l'époque au point kilométrique (PK) 406,93 de la ligne de Saint-Benoît au Blanc, entre les gares de Saint-Aigny - Le Blanc et du Blanc. La construction du viaduc du Blanc a débuté en 1885 et s'est terminée en 1886. Les architectes Bleynie, Charles Dupuy et Bonnemère ont été chargés du projet.
L'objectif de l'ouvrage était de permettre le franchissement, à voix unique, de la rivière Creuse (affluent de la Vienne), pour les trains de la ligne de Saint-Benoît au Blanc.
Le viaduc aura couté 2 210 000 Frcs de l'époque.
C'est un pont de type « pont en arc », qui faisait fonction de pont-rail.
Le viaduc à une hauteur de 38 m3 et de 4,5 m de large est composée de 21 arches, pour une longueur de 528 m3.
Sa construction a nécessité 43 000 m3 de pierre.
L'ouvrage est aujourd'hui aménagé en voie verte.
Source Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Viaduc_du_Blanc
Le viaduc du Blanc est un ouvrage d'art ferroviaire de la ligne de Saint-Benoît au Blanc, situé sur le territoire de la commune du Blanc, dans le département de l'Indre. Le viaduc du Blanc, enjambant la Creuse, était situé à l'époque au point kilométrique (PK) 406,93 de la ligne de Saint-Benoît au Blanc, entre les gares de Saint-Aigny - Le Blanc et du Blanc. La construction du viaduc du Blanc a débuté en 1885 et s'est terminée en 1886. Les architectes Bleynie, Charles Dupuy et Bonnemère ont été chargés du projet.
L'objectif de l'ouvrage était de permettre le franchissement, à voix unique, de la rivière Creuse (affluent de la Vienne), pour les trains de la ligne de Saint-Benoît au Blanc.
Le viaduc aura couté 2 210 000 Frcs de l'époque.
C'est un pont de type « pont en arc », qui faisait fonction de pont-rail.
Le viaduc à une hauteur de 38 m3 et de 4,5 m de large est composée de 21 arches, pour une longueur de 528 m3.
Sa construction a nécessité 43 000 m3 de pierre.
L'ouvrage est aujourd'hui aménagé en voie verte.
Source Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Viaduc_du_Blanc
Passage de la ligne ferroviaire de Nexon à Brive-La-Gaillarde au dessus de la Rivière Rouzeix
La ligne de Nexon à Brive-la-Gaillarde est une ligne de chemin de fer française, mise en service le 20 décembre 1875, qui relie la gare de Nexon (Haute-Vienne) à celle de Brive-la-Gaillarde (Corrèze). Jusqu'en 1893, elle accueillait l'important trafic voyageur et fret de l'axe Paris - Toulouse - Espagne avant d'être supplantée par la ligne Limoges - Brive via Uzerche.
À la suite de la déconfiture financière de la Compagnie du chemin de fer Grand-Central de France, son démantèlement est organisé en 1857 au profit de la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans et de la constitution de la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée. Dans ce cadre, la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans reçoit, à titre complémentaire, notamment la concession à titre éventuel d'une ligne « de Limoges à Brive » par la convention signée le 11 avril 1857 avec le ministre des Travaux publics. Cette convention est approuvée par décret le 19 juin 1857.
Cette concession répondait à un souci de réduction du temps de parcours au sud de Limoges en évitant de passer par Périgueux. La construction de la ligne entre Limoges et Brive est déclarée d'utilité publique par décret impérial le 17 mai 1865 rendant ainsi la concession définitive[4]. Initialement prévue pour être à double voie, la ligne fut finalement construite avec une seule voie, par souci d'économie. Cette ligne permit à sa mise en service de réduire le temps de parcours entre Paris et Toulouse par rapport à l'ancien itinéraire passant par Périgueux, avec une réduction de 70 km. À la mise en service de la ligne Limoges Brive via Uzerche (qui est partie intégrante de la ligne POLT), celle-ci vit perdre une bonne partie de son trafic, jusqu'à la suppression des trains Paris Toulouse via St Yrieix à l'aube de la première guerre mondiale.
Le décret du 13 juin 1874 porte la décision du détachement du chemin de fer de Limoges à Brive, de la ligne de Limoges à Périgueux, à ou près de Nexon. Il corrige le décret du 17 mai 1865 dans ses dispositions contraires au nouveau décret.
La vitesse de circulation est abaissée en 2015 de 70 à 60 km/h, puis en 2018 de 60 à 50 km/h. La ligne est interrompue depuis le 27 février 2018 au soir entre Pompadour et Objat à la suite de la constatation d'un affaissement de la voie sur une vingtaine de mètres aux environs de Vignols. Cette interruption, prolongée jusqu'à Saint-Yrieix-la-Perche, perdure depuis cette année-là.
Source : Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Ligne_de_Nexon_%C3%A0_Brive-la-Gaillarde
Lestre - Ruines de l'ancienne chapelle Saint-Michel
Les vestiges de la chapelle Saint-Michel sont situés au hameau du Bourg de Lestre, sur une butte dominant la vallée de la Sinope et la baie de Saint-Vaast, à 1,9 kilomètre au sud-est de l'église Saint-Martin de Lestre, dans le département français de la Manche. L'édifice était située sur le chemin des pèlerins de Saint-Jacques.
Historique
La chapelle de par sa situation et sa dédicace semblent suggérer qu'elle a remplacé un sanctuaire païen. Une tradition populaire y situe l'emplacement d'une vigie antique. Elle a certainement servi de chapelle castrale ; à ses abords, on voyait encore en 1900 les vestiges d'un « château »2. Les différents cultes auxquels elle est associée et sa proximité avec Barfleur donnent à penser qu'elle était un lieu de passage pour les pèlerins d'outre-Manche se rendant au Mont-Saint-Michel ou à Saint-Jacques-de-Compostelle.
La chapelle est mentionnée pour la première fois vers 1160. Vers 12213, Guillaume de Lestre renonce à ses droits sur la chapelle et le patronage échoit à l'abbaye de Blanchelande.
Vendue après la Révolution française, en 1817, la chapelle sert de carrière et ses pierres sont pillées.
Description
La chapelle, orientée est-ouest, avec ses arcades gothiques et ses chapiteaux romans se situe à la charnière de ses deux styles.
Au XIVe siècle, la chapelle à nef unique et transept que termine une abside romane semi-circulaire a été complétée au nord par une chapelle gothique latérale. À la même époque, la nef a été augmentée d'un bas-côté.
Le chœur
L'abside romane en grès du début du XIIe siècle qu'épaulent deux contreforts plats en calcaire est voutée en cul de four. Au sud, on devine dans la maçonnerie un appareil en « opus piscatum » ou arête de poisson. Une corniche sculptée, ornée de modillons à visages grimaçants et de symboles géométriques4, coiffe ses murs que percent deux fenêtres étroites et ébrasées. Elle abrite le maitre-autel, une statue décapitée de saint Jacques pèlerin datant du XVe siècle, d'un évêque et un chapiteau déposé du XIIe siècle.
La nef
Au XIVe siècle, la nef a été augmentée au sud d'un bas-côté ouvert latéralement par deux arcs brisés. Elle s'ouvre sur le transept par un arc roman et contient une sainte Trinité dans son angle sud-est.
La chapelle gothique
Elle s'ouvre par une baie ogivale et abrite un enfeu qu'encadrent des pilastres surmontés de pinacles dans lequel un gisant très dégradé, posé sur deux cylindres, est encadré par deux statues en pied, également très dégradées. Elle renferme un autel latéral que surmonte un haut relief des saints Côme et Damien du XVe siècle.
Commentaires
Agen - Le pont canal
C'est un pont en arc, entièrement maçonné en pierre de taille du Quercy. Ses dimensions n'autorisent qu'une navigation à sens unique. Une écluse et un plan d'eau sont situés en aval de l'ouvrage et un autre plan d'eau en amont. Mise en service : 1849
- longueur totale de 539 mètres, sur 22 piles ;
- largeur totale de 12,48 mètres ;
- largeur de la voie d'eau de 8,82 mètres ;
- profondeur de la voie d'eau de 2,70 mètres.
Source
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pont-canal_d%27Agen
Tanus (Tarn) - Viaduc ferroviaire du Viaur - 1903
Ce viaduc à voie unique est situé entre les points kilométriques 450,909 et 451,369 de la ligne de Castelnaudary à Rodez.
À l’issue d’un concours ouvert en 1887 à des ingénieurs (parmi lesquels figurait Gustave Eiffel), il fut attribué à l’ingénieur Paul Bodin de la Société de construction des Batignolles (aujourd’hui Spie Batignolles), et construit par celui-ci entre 1895 et 1902, avec l'aide de l'ingénieur Rosario de Volontat.
Le viaduc à voie unique est situé sur la ligne de chemin de fer Carmaux - Rodez. Il était alors le plus long arc métallique jamais construit. Le viaduc contient selon les estimations 3 800 tonnes de métal, avec un coût total, y compris les culées en maçonnerie, de l'ordre de 2 700 000 francs français.
Le 4 juillet 1902 est effectuée la jonction entre les deux parties du viaduc. Le pont est inauguré le 5 octobre 1902. Au moment de son achèvement, il comprend l'arc métallique le plus long.
Ce pont en acier, assemblé par rivets, est composé de deux poutres en porte-à-faux équilibrées (cantilever) et articulées, chacune prolongée par une courte poutre à section constante et une culée en maçonnerie à deux arches. C’est le seul pont de ce type en France. À l'origine le point central du pont n'était pas soudé, l'arche principale est donc scindée en deux parties indépendantes capables de soutenir chacune un poids considérable. Les deux parties furent soudées pour des raisons de maintenance peu après la construction du viaduc.
Grâce à la technique cantilever, les viaducs ferroviaires ont pu atteindre des portées considérables, jusque-là réservées aux ponts suspendus, alors inadaptés à la voie ferrée.
Le viaduc du Viaur est reconnaissable entre tous par sa silhouette où la voie ferrée passe au sommet et non au milieu de la structure, comme c’est le cas pour les autres ponts à poutres en porte-à-faux.
Longueur totale de l'ouvrage : 460 m
Hauteur : 116 m au-dessus de la rivière, 54 m au-dessus des appuis.
Portée entre appuis : 220 m.
Masse métallique : 3 800 t.
L’assemblage du viaduc du Viaur a inspiré le peintre Henri-Marcel Magne, pour son tableau Construction d'un Viaduc, où l'on voit une équipe de riveurs au travail, perchés sur un échafaudage volant.
La création du viaduc, avec les conséquences positives qu'il eut sur l'économie agricole du Ségala, est le thème de la nouvelle de Joan Bodon, Lo Pan de Froment (« Le pain de froment »)
Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Viaduc_du_Viaur
Morlaix - Le port et le viaduc
Paris - Le pont Saint-Michel et le Tribunal de Commerce
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tribunal_de_commerce_de_Paris
Paris - Le chemin de fer d'Orléans
https://fr.wikipedia.org/wiki/Compagnie_du_chemin_de_fer_de_Paris_%C3%A0_Orl%C3%A9ans
Le viaduc du Blanc en construction
L'objectif de l'ouvrage était de permettre le franchissement, à voix unique, de la rivière Creuse (affluent de la Vienne), pour les trains de la ligne de Saint-Benoît au Blanc.
Le viaduc aura couté 2 210 000 Frcs de l'époque.
C'est un pont de type « pont en arc », qui faisait fonction de pont-rail.
Le viaduc à une hauteur de 38 m3 et de 4,5 m de large est composée de 21 arches, pour une longueur de 528 m3.
Sa construction a nécessité 43 000 m3 de pierre.
L'ouvrage est aujourd'hui aménagé en voie verte.
Source Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Viaduc_du_Blanc
Le viaduc du Blanc en construction
L'objectif de l'ouvrage était de permettre le franchissement, à voix unique, de la rivière Creuse (affluent de la Vienne), pour les trains de la ligne de Saint-Benoît au Blanc.
Le viaduc aura couté 2 210 000 Frcs de l'époque.
C'est un pont de type « pont en arc », qui faisait fonction de pont-rail.
Le viaduc à une hauteur de 38 m3 et de 4,5 m de large est composée de 21 arches, pour une longueur de 528 m3.
Sa construction a nécessité 43 000 m3 de pierre.
L'ouvrage est aujourd'hui aménagé en voie verte.
Source Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Viaduc_du_Blanc
Passage de la ligne ferroviaire de Nexon à Brive-La-Gaillarde au dessus de la Rivière Rouzeix
À la suite de la déconfiture financière de la Compagnie du chemin de fer Grand-Central de France, son démantèlement est organisé en 1857 au profit de la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans et de la constitution de la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée. Dans ce cadre, la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans reçoit, à titre complémentaire, notamment la concession à titre éventuel d'une ligne « de Limoges à Brive » par la convention signée le 11 avril 1857 avec le ministre des Travaux publics. Cette convention est approuvée par décret le 19 juin 1857.
Cette concession répondait à un souci de réduction du temps de parcours au sud de Limoges en évitant de passer par Périgueux. La construction de la ligne entre Limoges et Brive est déclarée d'utilité publique par décret impérial le 17 mai 1865 rendant ainsi la concession définitive[4]. Initialement prévue pour être à double voie, la ligne fut finalement construite avec une seule voie, par souci d'économie. Cette ligne permit à sa mise en service de réduire le temps de parcours entre Paris et Toulouse par rapport à l'ancien itinéraire passant par Périgueux, avec une réduction de 70 km. À la mise en service de la ligne Limoges Brive via Uzerche (qui est partie intégrante de la ligne POLT), celle-ci vit perdre une bonne partie de son trafic, jusqu'à la suppression des trains Paris Toulouse via St Yrieix à l'aube de la première guerre mondiale.
Le décret du 13 juin 1874 porte la décision du détachement du chemin de fer de Limoges à Brive, de la ligne de Limoges à Périgueux, à ou près de Nexon. Il corrige le décret du 17 mai 1865 dans ses dispositions contraires au nouveau décret.
La vitesse de circulation est abaissée en 2015 de 70 à 60 km/h, puis en 2018 de 60 à 50 km/h. La ligne est interrompue depuis le 27 février 2018 au soir entre Pompadour et Objat à la suite de la constatation d'un affaissement de la voie sur une vingtaine de mètres aux environs de Vignols. Cette interruption, prolongée jusqu'à Saint-Yrieix-la-Perche, perdure depuis cette année-là.
Source : Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Ligne_de_Nexon_%C3%A0_Brive-la-Gaillarde
Lestre - Ruines de l'ancienne chapelle Saint-Michel
Historique
La chapelle de par sa situation et sa dédicace semblent suggérer qu'elle a remplacé un sanctuaire païen. Une tradition populaire y situe l'emplacement d'une vigie antique. Elle a certainement servi de chapelle castrale ; à ses abords, on voyait encore en 1900 les vestiges d'un « château »2. Les différents cultes auxquels elle est associée et sa proximité avec Barfleur donnent à penser qu'elle était un lieu de passage pour les pèlerins d'outre-Manche se rendant au Mont-Saint-Michel ou à Saint-Jacques-de-Compostelle.
La chapelle est mentionnée pour la première fois vers 1160. Vers 12213, Guillaume de Lestre renonce à ses droits sur la chapelle et le patronage échoit à l'abbaye de Blanchelande.
Vendue après la Révolution française, en 1817, la chapelle sert de carrière et ses pierres sont pillées.
Description
La chapelle, orientée est-ouest, avec ses arcades gothiques et ses chapiteaux romans se situe à la charnière de ses deux styles.
Au XIVe siècle, la chapelle à nef unique et transept que termine une abside romane semi-circulaire a été complétée au nord par une chapelle gothique latérale. À la même époque, la nef a été augmentée d'un bas-côté.
Le chœur
L'abside romane en grès du début du XIIe siècle qu'épaulent deux contreforts plats en calcaire est voutée en cul de four. Au sud, on devine dans la maçonnerie un appareil en « opus piscatum » ou arête de poisson. Une corniche sculptée, ornée de modillons à visages grimaçants et de symboles géométriques4, coiffe ses murs que percent deux fenêtres étroites et ébrasées. Elle abrite le maitre-autel, une statue décapitée de saint Jacques pèlerin datant du XVe siècle, d'un évêque et un chapiteau déposé du XIIe siècle.
La nef
Au XIVe siècle, la nef a été augmentée au sud d'un bas-côté ouvert latéralement par deux arcs brisés. Elle s'ouvre sur le transept par un arc roman et contient une sainte Trinité dans son angle sud-est.
La chapelle gothique
Elle s'ouvre par une baie ogivale et abrite un enfeu qu'encadrent des pilastres surmontés de pinacles dans lequel un gisant très dégradé, posé sur deux cylindres, est encadré par deux statues en pied, également très dégradées. Elle renferme un autel latéral que surmonte un haut relief des saints Côme et Damien du XVe siècle.
Source : Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Chapelle_Saint-Michel_de_Lestre
Cherbourg via Geneanet