Je fis un grand dessin du temple, beau de tous côtés, appelé "Lit du Pharaon". Le paysage qui nous entoure est tout à fait extraordinaire et ne ressemble à rien d'autre : d'immenses rochers dépassant ici et là des sables poussés par le vent qui, à la nuit tombante, prennent l'apparence de la neige ; avec par endroits des ronds ou bandes de végétation, et, plus près de l'eau, de palmiers.
Journal de David Roberts 1er novembre 1838.