Le glacier d'Athabasca
Le glacier d'Athabasca disparait peu à peu. En 125 ans, il a perdu la moitié de son volume et s'est rétracté de 1500 mètres. D'ici un siècle peut-être, il aura fondu, sera remplacé par une forêt et le lac qui a commencé à se former à son pied, s'étendra, comme il en est de tous les lacs de la vallée, témoins des glaciers disparus. Quelques siècles de plus et les torrents qui dévalent la montagne, charriant des débris de roche et de terre, finiront par combler ces grands lacs, c'est actuellement le stade du Lac Moraine, il commence à se rétracter. Or ces glaciers, comme l'Athabasca, constituent la ressource en eau douce de tout l'Ouest de l'Amérique du Nord. Leur disparition implique la désertification de ces terres. Le réchauffement climatique, responsable de cette évolution, est, au moins en partie, due aux activités humaines.
Le glacier d'Athabasca disparait peu à peu. En 125 ans, il a perdu la moitié de son volume et s'est rétracté de 1500 mètres. D'ici un siècle peut-être, il aura fondu, sera remplacé par une forêt et le lac qui a commencé à se former à son pied, s'étendra, comme il en est de tous les lacs de la vallée, témoins des glaciers disparus. Quelques siècles de plus et les torrents qui dévalent la montagne, charriant des débris de roche et de terre, finiront par combler ces grands lacs, c'est actuellement le stade du Lac Moraine, il commence à se rétracter. Or ces glaciers, comme l'Athabasca, constituent la ressource en eau douce de tout l'Ouest de l'Amérique du Nord. Leur disparition implique la désertification de ces terres. Le réchauffement climatique, responsable de cette évolution, est, au moins en partie, due aux activités humaines.