Une Ford T, je crois, qui appartenait à un ami de Serge venu visiter la palmeraie.
Katryne
- Friday 1 September 2023 21:59
Je suis née là-haut, au 3e, la dernière fenêtre à droite. Enfin, pas tout de suite, dans 7 ans.
Katryne
- Friday 1 September 2023 21:52
Au 3e, les 2 fenêtres de droite, l'appartement de mes grands-parents. C'est là où je vais naître dans quelques années. A l'extrême droite, Maman et Papy (Ginette et Henry Bayle). Plus à gauche, on voit Mamy (Suzanne Bayle). Au même étage à gauche, Élisabeth Grégoire et, je pense sa mère. Au 2e, sur le balcon, la famille Gensbitel. Les garçons s'appellent Daniel et Gérard. C'est mon oncle Robert, en bas dans la rue, qui prend les photos.
Katryne
- Monday 28 August 2023 21:40
J'ai bidonné : comme depuis 3 jours la brigade ne chopait pas le moindre toutou, j'ai amené le mien, Patrick Blanchard a fait la photo et mon article a pu paraître. Le photographe rouspétait parce que mon chien n'avait l'air ni dangereux ni terrorisé : il était juste heureux d'être en bonne compagnie.
Katryne
- Thursday 24 August 2023 20:39
La mention "papa" au-dessus de l'homme sur l'échelle, serait de la main de Serge ? ou d'Olga ? Ou de Xénia ?
Katryne
- Saturday 19 August 2023 08:41
Titre : Mémoire sur les colonies françaises des îles de la Société... par Aug. Lucas,... suivi d'un dialogue entre Pomaré et l'auteur, d'un Traité de la reine et de deux de ses lettres adressées au même
Auteur : Pomaré IV (1813-1877 ; reine de Tahiti). Auteur du texte
Auteur : Lucas, Auguste (résident français à Papeete). Auteur du texte
Éditeur : ((Paris,))
Date d'édition : 1848
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31132032d
Type : monographie imprimée
Langue : français
Format : In-4° , 26 p.
Format : Nombre total de vues : 29
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k1318223
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-LK13-18
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 11/10/2010
Francis
- Monday 14 August 2023 16:46
Dernière heure à la maison.
Katryne
- Wednesday 7 June 2023 13:18
La maison de maître avait été construite au début du XXe siècle par un grossiste en boucherie qui l'avait accolée à ses étables. Jusqu'à ce qu'on l'achète en septembre 1972, elle était louée avec ses 20 hectares de prairie à une famille d'éleveurs : Louvel. Quand la propriété a été mise en vente, l'éleveur a acquis les terres et nous avons acheté les bâtiments sur 4000 m2.
Les locaux avaient été occupés par les Allemands pendant la guerre. Ils avaient surélevé la tour de l'escalier pour y installer un mirador. La baie d'Authie constituait en effet un lieu possible de débarquement depuis l'Angleterre et cette maison faisait partie de la ligne de défense allemande sur cette côte. Les Anglais le savaient bien qui essayèrent de bombarder la maison : 2 séries de 5 trous de bombe se croisent non loin de la maison où elles ont créé des mares, bien alignées, pour qui sait en lire la carte. La charpente de la maison se souvient des bombardements : un architecte avait souligné les effets du souffle sur la poutraison.
Lors de la Libération, alors que les Allemands étaient partis depuis longtemps, une équipe de joyeux drilles a voulu jouer aux résistants et a criblé la maison de tirs de grenades. Les dommages de guerre ont couvert les dégâts qu'ils avaient causé, eux, et pas les Allemands.
Les Allemands avaient tiré une ligne électrique depuis la route et ce fut la seule période où la maison fut été électrifiée. Enfin jusqu'à ce que les actuels propriétaires en financent l'électrification.
Quand notre famille en était propriétaire, de 1972 à 1990, l'électricité était celle du groupe électrogène d'occasion que nous avions acheté aux enchères à EDF. C'était un groupe de secours qui tournait au gas-oil, plutôt volumineux et qui était prévu pour alimenter tout un canton en cas de panne de secteur ! Les armoires de commande étaient impressionnantes. Nous ne l'allumions qu'en soirée, au grand dam des chasseurs de la baie qui n'appréciaient pas le raffut.